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La moto comme on la connait aujourd’hui est passée par bien des étapes et des changements. Elle a vu le jour un 26 décembre 1868. C’est un ingénieur mécanicien français, Louis-Guillaume Perreaux qui déposa le premier brevet du « vélocipède à vapeur à grande vitesse » (vélo avec un moteur). De 1868 à 1889, il ne cessa de l’améliorer, et de le compléter par de multiples modifications.
La moto de 2021 n’a en effet plus rien à voir avec la moto de 1868 si ce n’est les caractéristiques principales.
De nos jours, le monde des deux-roues devient de plus en plus connecté. Il évolue avec son temps, et apparait comme un centre d’intérêt et d’innovations en tout genre. Effectivement, il connait ces dernières années une vraie révolution en matière d’innovations technologiques. Le secteur de l’équipement et de la prévention progressent eux aussi de plus en plus.
Des scooters électriques, aux vestes airbag en passant par les traceurs GPS, ou les motos volantes, les innovations et les nouvelles technologies foisonnent de toute part.
Après avoir fonctionné sur les voitures, la motorisation électrique s’est déployée sur les scooters et particulièrement sur ceux en libre-service. Les scooters 100 % électriques sont de plus en plus nombreux sur les routes, répondant à un besoin grandissant de solutions alternatives aux engins à émissions de CO2. Les marques ont elles aussi développé leur modèle pour rouler en ville tout en protégeant la planète.
C’est le cas de BMW qui a déployé en 2014, le BMW C evolution, un maxi-scooter 100% électrique, silencieux, non polluant et possédant une autonomie de près de 160 kilomètres. De plus, il est intelligent, car lors des accélérations et des freinages, le scooter récupère l’énergie dépensée.
Nous pouvons aussi parler du battage médiatique qu’il y a eu récemment autour de l’entreprise indienne Ola et de son nouveau scooter électrique. Le constructeur a réussi à obtenir plus de 100 000 réservations en moins de 24 heures. C’est une véritable révolution technologique en Inde, car il apparaît clairement comme le deux-roues le plus novateur. Cette demande sans précédent est historiquement la plus forte de toute l’histoire du marché mondial des deux-roues. De quoi prévoir un avenir prometteur.
Côté moto, c’est en 2009 que l’on voit apparaître la première moto électrique de route à être produite en série, la Zero S de Motorcycles. À ses débuts, son autonomie était limitée à 80 km et sa vitesse maximale à 97 km/h. Désormais, son autonomie en ville est de 288 km pour une vitesse maximale de 139 km/h. Ce modèle a clairement défini les standards de la moto électrique urbaine.
Au fil des années, on voit apparaître de plus en plus de constructeurs qui s’inscrivent à leur tour dans le processus de transition énergétique comme Harley-Davidson. Leur première moto électrique fut la LiveWire, dévoilée lors du Salon de la moto de Milan en novembre 2018. Elle confirme l’arrivée sur le marché de la moto, du moteur à propulsion électrique.
Honda innove aussi de son côté. La marque a annoncé cette année le développement d'une gamme de deux-roues électriques prévus à l'horizon 2024.
Avec le développement de l’électromobilité dans ce secteur, les constructeurs de deux-roues s’inscrivent à leur tour dans le processus de transition énergétique. Le choix des deux-roues électriques s’agrandit et il devient de plus en plus difficile de s’y retrouver. Pour choisir le scooter ou la moto électrique qui vous correspond, nous vous conseillons donc de bien prendre en compte le prix, la vitesse et l’autonomie de la batterie.
En fonction de la puissance du moteur et des batteries, les primes gouvernementales varieront également.
Précurseur de la technologie embarquée, BMW propose sur certains de ses scooters un écran de bord commandé par une molette depuis le guidon. Ce dernier permet d’avoir accès à des indications de direction de navigation, de téléphoner ou d’écouter de la musique.
Depuis les années 2000, les intercoms ne cessent de se déployer et de s’améliorer. Ces émetteurs-récepteurs sans fil permettent d’écouter le téléphone, le GPS ou la radio et de dialoguer avec le passager, voire avec les membres d’un groupe de motards, en nombre toujours croissant et à distance de plus en plus grande. L’intercom filaire non électrique est l’ancêtre de l’intercom sans fil d’aujourd’hui. En 20 ans, rien que sur cette technologie, on passe d’un simple outil de communication basique à un outil capable d’échanger et de se connecter en Bluetooth à son téléphone.
Le GPS TomTom, a lui aussi connu une belle évolution entre 2004 (son lancement) et aujourd’hui. Le TomTom Rider 550 Premium peut lire vos messages à haute voix dans votre casque, mais aussi vous faire passer par les routes les plus belles du monde grâce à sa mise à jour Wi-Fi. Il vous prévient des embouteillages, des potentiels accidents etc. Il fait désormais largement le poids face aux smartphones, et offre en plus, tous les avantages d’un GPS (étanchéité, utilisation avec les gants). On est loin du vieux TomTom Go.
Le traceur GPS apparait aussi comme une révolution dans l’univers connecté des deux-roues. Cependant, selon une étude réalisée par 2-roues Lab’en avril 2021 : « 67 % des répondants connaissent l’existence des traceurs GPS, mais seulement 7 % en sont équipés ».
Alors, même si le traceur a un coût, il est très efficace. Selon Coyote Secure, 91 % des véhicules équipés du traceur de la marque sont récupérés en 48 heures (auto et moto). Et selon l’étude 2-roues Lab’ « 91 % des possesseurs de traceur GPS en sont satisfaits ».
Dans ce domaine, le traceur Pégase excelle. Il est en quelque sorte l’ange gardien de votre moto. Il permet une géolocalisation 4 fois par seconde, qui, à défaut de vous trouver la moto dans un 5ème sous-sol, vous retrouvera exactement le lieu où votre moto est entreposée. Le Pégase promet aussi de vous accompagner pour améliorer votre conduite. Il mémorise vos caractéristiques de conduite et votre position comme les zones d’accélération, le freinage, la vitesse, etc. Toujours dans une optique d’améliorations et d’innovations, les traceurs GPS n’ont pas fini de nous surprendre et de s’infiltrer dans la communauté des motards.
Dans le même esprit, Xena, l’inventeur du bloque disque alarme, est passé à l’heure du 2.0 avec le premier bloque disque Bluetooth en 2017. Il se connecte avec un smartphone via l’application associée. Depuis votre téléphone, vous pourrez activer ou désactiver l’alarme, ajuster la sensibilité aux chocs et celle du capteur de mouvements, ainsi que régler le volume sonore de l’alarme et vérifier l’état des piles.
Les top cases aussi bénéficient d’évolutions. C’est le cas du Givi V56NNT Maxia 4 Keyless 2.0. Ce top case à fermeture/ouverture sans clé n’a ni besoin de télécommande ni de connexion à la batterie de votre moto. Un simple smartphone suffit. Pas de perte de place non plus, car il fonctionne avec un petit boitier de deux piles. De plus, la fermeture est automatique lorsque vous êtes sur la moto. Une innovation pour encore plus de praticité et de sécurité.
L’assistant d’aide à la conduite, lui aussi, est un outil technologique qui permet depuis sa sortie en France en 2012 d’améliorer nettement la sécurité routière. Il permet d’aider le motard dans sa conduite sans le déconcentrer notamment grâce à des options comme ; le régulateur de vitesse adaptatif, l’alerte anticollision frontale ou la détection de véhicules présents dans les angles morts, etc…
Le Motobit Sentinel est un des outils les plus avancés à ce jour, sur le marché. Il permet au conducteur d’être alerté sans quitter la route des yeux, grâce à des vibrations fortes et intuitives. Il se fixe à votre poignet comme une montre et se connecte en Bluetooth à votre smartphone.
Le Coyotte mini, lui aussi, est à la pointe de ce qu’un assistant d’aide à la conduite peut vous apporter. Il permet de rester concentré sur la route tout en étant prévenu par assistance vocale. Il est très pratique, car il peut autant s’adapter sur une moto que sur une voiture. Il fonctionne par abonnement mensuel ou annuel et se connecte en Bluetooth à votre smartphone.
Cent pour cent légal, l’assistant d’aide à la conduite permet au motard d’être encore plus en sécurité sur la route.
Les équipements chauffants, comme les gants, sont eux aussi de plus en plus en vogue et à la pointe des dernières évolutions. En effet, en hiver, le motard peut faire face à des conditions extrêmes. En ce sens, il est primordial de pouvoir rester alerte et concentré sur la route et ses dangers plutôt que de se focaliser sur le froid et ses désagréments.
Aujourd’hui, on est loin du premier gant chauffant de 1982 pensé par Racer. À l’époque, ils étaient reliés à la moto par des câbles à raccorder au circuit électrique. Désormais, la plupart des gants chauffants disposent de batteries à recharger et permettent de calibrer l’intensité de chaleur souhaitée.
VOIR TOUS NOS GANTS CHAUFFANTS
Il existe aussi des vestes ou des gilets chauffants, avec la même technologie sans fil et à batterie. Keis, spécialiste en vêtements chauffants, propose même des chaussettes, des semelles et des collants chauffants.
À l’inverse, il existe des technologies réfrigérantes, pour résister aux fortes chaleurs. Lorsque les tissus mesh, ultras aérés, ne suffisent plus, de nouveaux matériaux permettent de rester au frais sous son équipement. Rev’it et BMW utilisent par exemple la technologie Hyperkewl.
Le confort de conduite des motards s’est nettement amélioré avec tous ces équipements toujours plus intelligents et connectés. La sécurité aussi, si l’on se fie aux traceurs, assistants de conduite, et GPS. Cependant, encore aujourd’hui, seulement une minorité des motards est équipée de toutes ces dernières technologies.
Nous pouvons supposer que le prix en est le premier facteur. En effet, ces dernières pépites ne sont pas à la portée de toutes les bourses. Même si l’on trouve des prix concurrentiels, il faut compter au moins 100€ pour un intercom moto, 400€ pour un GPS, et environ 200€ pour un assistant d’aide à la conduite. De quoi décourager certains pilotes.
Honda, toujours dans un élan d’innovation, continue de progresser sur la possibilité d’un airbag moto intégral. Après avoir lancé à l’an 2000 l’airbag intégré à l’avant des deux-roues pour limiter l’impact des chocs frontaux, la marque japonaise continue d’innover et travaille depuis 2013 sur un projet d’airbag intégré à la selle qui protègerait l’intégralité du corps du pilote lors d’un accident.
Dans les accessoires de sécurité personnelle, les airbags moto intégrés aux vêtements commencent eux aussi à se développer ces dernières années.
Les gilets airbag sont aujourd’hui très pratiques. Avec ou sans fil, ils permettent une protection supérieure à des dorsales ou autres équipements. Le gilet airbag Dainese Smart Jacket est particulièrement évolué. Il peut se porter au-dessus ou en dessous de votre veste. Des capteurs (géographiques, accéléromètres, gyroscopes) analyseront les mouvements et déclencheront l'airbag avant l'impact. L'équipement est totalement autonome, il suffit de veiller à ce que la batterie soit chargée.
Vous pouvez retrouver aussi des combinaisons airbag comme la combinaison RST podium airbag, totalement autonome (sans câble ni capteur).
Cependant, la véritable révolution en protection airbag du motard reste à ce jour le pantalon airbag. Il s’agit d’un sur pantalon breveté par la marque CX air Dynamics et unique au monde. Il est relié à la moto par un câble pour un déclenchement rapide en cas de chute.
Toujours dans l’équipement vestimentaire des motards, on retrouve des vêtements innovants avec de nouvelles matières, de nouvelles techniques de fabrications ou autres. En effet, on entend souvent par nouvelle technologie, des objets connectés, mais on oublie que l’innovation peut se faire aussi sur des matières ou des matériaux.
Par exemple, Macna utilise la technologie Night Eye pour certains de ses équipements. Ils sont de couleur pendant la journée, mais s'allument dans le noir. Le tissu est recouvert d'innombrables boules de verre microscopiques qui réfléchissent la lumière vers la source - les autres conducteurs sur la route.
Raylier aussi innove avec son cuir lumineux avec système LED pour être plus visible. Douze leds sont réparties sur tout le blouson et fonctionnent à travers deux modes de clignotement. Le blouson intègre également un système de feu-stop avec un accéléromètre.
Toujours dans les accessoires lumineux et de sécurité personnelle, on retrouve les feux connectés. Ils ne remplacent pas les feux de votre moto, ils viennent seulement les compléter. Amovibles, ils se fixent à l’arrière de tous les casques. L’innovation, c’est surtout le détecteur de chute : il envoie automatiquement une alerte vers un centre d’appels d’urgence (associé à un abonnement) qui se chargera de prévenir les secours en cas d’accident. Une innovation qui sécurise une fois de plus le pilote.
SHARK propose aussi des casques avec des leds directement intégrées.
Movalyse, la société slovène créatrice du STS® Smart Turn System (arrêt automatique des clignotants) a créé le module Smart Brake. C’est un module intelligent de freinage, qui, lorsque la vitesse du motard se réduit, le feu-stop s’allume dans le but d’éviter de se faire percuter par l’arrière par manque de visibilité.
Dans la catégorie des casques intelligents : Kosmos Smart Helmets, une start-up française, a développé un concept de casque de moto intelligent. Ce dernier est non seulement design, mais il est idéal pour améliorer la sécurité des motards. Il est doté d’un feu-stop à l’arrière qui permet d’avertir les autres usagers lors du freinage. Il est aussi équipé d’une assistance vocale qui est connectée au smartphone du motard ce qui lui permet d’être tenu informé du trafic en temps réel.
La réelle innovation dans ce casque est la technologie brevetée pour prévenir des chutes. Lorsque le motard prend une mauvaise position ou qu’il reçoit un choc, l’assistance vocale lui demande s’il veut ou non appeler les secours. S’il ne répond pas, une application envoie instantanément un message d’alerte à cinq proches. Le motard est alors géolocalisé et ses antécédents médicaux sont envoyés pour pouvoir alerter les secours si besoin.
Le casque est disponible sur leur site en précommande et pourrait bien sauver des vies.
Le casque de chez Vozz aussi innove en étant le seul casque intégral sans jugulaire. Selon Vozz, ce choix technique apporte de réels progrès. Le casque s’ouvre par un système de coque semi-ouverte par l’arrière. Les porteurs de lunettes pourront enfiler et retirer ce casque plus facilement. En cas d’urgence, les secours auront un accès plus facile.
Le casque est aussi décrit comme très confortable, stable, silencieux, car la base du casque est plus étroite grâce à la cinématique de fonctionnement. De même, la tenue serait améliorée, y compris sur circuit à haute vitesse.
L’enjeu principal de toutes ces innovations est de réduire le nombre d’accidents graves impliquant les deux-roues. Malgré l’énumération des innovations marquantes ces dernières années, il en reste d’innombrables qui s’axent sur des détails mécaniques.
Dans ce domaine, on pourrait alors citer les systèmes d’antidérapage grâce à un capteur d’inclinaison, le Traction Control (antipatinage)…
Certaines innovations comme chez BMW attirent beaucoup plus l’attention. La marque allemande a sorti une chaine moto sans entretien. Mais BMW avait aussi impressionné ses adeptes avec les démonstrations de sa fameuse R1200 GS, mais cette fois-ci en version autonome avec aucun pilote tenant le guidon.
Honda aussi avait fait sensation en présentant sa moto qui tient seule à l’arrêt, grâce à son système Riding Assist. Ce deux-roues autoéquilibré est capable de rester debout sans utiliser de béquille. C’est une moto ingénieuse, car elle réduit considérablement les risques de déséquilibre. Mais pour le moment, la Honda Self Balancing bike n’est pas encore commercialisée. Il faudra patienter encore un peu, pour en savoir plus sur sa date de sortie et sur son prix.
Les innovations du monde de la moto concernent énormément d’aspects : la sécurité, la fiabilité, la puissance, les équipements, les matériaux, la motorisation… les motos de demain ne ressembleront peut-être plus du tout à ce qu’on a connu jusqu’à présent. Elles se conduiront seules, sans émettre de bruit ni de pollution, elles n’auront peut-être plus deux roues et se gareront de manière autonome. On peut laisser libre cours à de nombreuses suppositions lorsque l’on voit les constructeurs qui rivalisent d’ingéniosité pour concevoir des prototypes toujours plus impressionnants.
Dans ce registre, nous pouvons parler de la Light Rider. Ce prototype de moto électrique a été imaginé par une filiale de l’avionneur Airbus, APWorks, à l’aide d’une imprimante 3D ! Elle est composée à 100% d’aluminium et son poids défie toute concurrence, car elle pèse 35kg. Elle possède un moteur électrique de 6kW permettant une accélération de 0 à 45km/h en 3 secondes, avec une vitesse maximale de 80km/h. Son autonomie est de 60km, mais ce concentré d’innovation coute tout de même 50 000 euros.
La première moto volante mise au point par Colin Furze est assez impressionnante dans le genre futuriste. Baptisé Hoverbike, cet étrange véhicule plane sur de courtes distances grâce à deux hélices horizontales. Le prototype n’est pas encore assez fiable pour être commercialisé. Cependant, cet ingénieur connu sur Youtube pour son incroyable créativité est peut-être le premier d’une longue liste d’inventeurs de véhicules autonomes volants.
Une autre moto volante, mais plus avancée a été inventée par Hoversurf. La moto est baptisée Scorpio 3 et est fabriquée sur le même principe qu'un drone. Elle est capable de s'élever dans les airs jusqu'à 5 mètres de hauteur. Avec sa batterie et son réservoir à essence, la moto est capable de voler un peu plus d’une heure. Leur « Business model » est basé sur un service de « taxi drone » qui peut être piloté ou téléguidé. La police de Dubaï s'est déjà équipée de plusieurs modèles pour pouvoir surveiller des zones embouteillées et difficiles d'accès.
Un autre modèle de moto futuriste imaginé par la startup californienne Lit Motors vient compléter ces innovations. Le C-1 est un deux-roues hybride qui combine les avantages d’une moto en matière de plaisir, de praticité et d’agilité de circulation, avec les avantages d’une voiture en matière de confort et de sécurité, car les deux passagers sont protégés par une sorte de capsule. C’est une moto 100% électrique qui offre une autonomie de 320 kilomètres et peut atteindre les 160km/h. Lit Motors a déjà ouvert les précommandes sur son site, mais le prix de ce bijou technologique devrait avoisiner les 24 000 dollars.
BMW, toujours avec un temps d’avance, se positionne aussi sur la moto de demain. La BMW Motorrad VISION NEXT 100 est toute nouvelle, mais elle reprend des éléments de la ligne BMW Motorrad. Elle reste stable sur la route comme à l’arrêt, grâce à son système d’équilibre. Le pilote n’aura plus besoin de porter un casque. Il suffira de porter une élégante tenue conçue pour, et une visière qui ressemble à une paire de lunettes futuriste. Cette moto visionnaire pourrait bien entrer dans la norme du motocyclisme et ajouter une nouvelle dimension à la sensation de liberté dans un monde de plus en plus numérique.
Même si certaines pistes en cours d’élaboration, en précommande ou encore au stade de prototype, ont un air de films de science-fiction, l’objectif est dans la majorité des cas positif. Il est de sauver des vies et d’améliorer la cohabitation entre tous les utilisateurs de la route.
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